Al Ghazal

Après l'avoir laché pendant 2 bonne heures, je déçida qu'il était temps que je rentre l'étalon.
J'arriva au près, munit d'une longe et entra. Je m'aprocha doucement du cheval,une main devant tendu, l'autre, tenant la longe, derrière mon dos. J'évitais de regardé Al Ghazal droit dans les yeux, mais l'observa du coin de l'oeil. Il continua à brouté. Plus que deux mètres.
*il bouge mème pas!*
Peine perdue! A ce moment précit l'étalon partie comme une furie vers l'autre bout du près, lachant quelque coup de cul en ma direction. Encore une fois, j'eu pas mal de chance. Je fit une grimaçe de dégout mais continua à marcher vers Ghazal. Il me vit, baissa les oreilles, montra les dents et .... me charga au grand galop. Je me disait qu'il allait tourné, mais non! Je commença a panqué et au dernier moment je fit un saut de côté. L'aterissage fut assedouleureux, mais mieux vaut sa que de se faire piétiné par un cheval! Al Ghazal, n'ayant surement pas remarqué que j'était à terre continua son galop effrené avant de s'arrèta et scruter l'horizon à ma recherche. Pour ma part je fit la mème chose, mais pas pour cherche l'étalon, non! pour cherché une sortie de secoure! peine perdue: je me trouvais au beau milieu du près, avec autant de distance devant, qu'a droite,à gauche ou derrière. Je me leva doucement et .. ne refléchi pas une seconde de plus. Je fit volte façe et courru aussi vite que je put vers la fin du près. L'étalon tourna la tète, me vit et galopa dans ma direction. Je me retourna et vit qu'il s'aprocha de plus en plus. J'accelera mon allure.
Al ghazal se trouva maintenant à moin de 10 m de chez moi! quelque foulés de plus et il m'aura ratraper. et enfin! la barrière! j'accelera encore plus et ..me jetta litérallement entre les planches et attéris de l'autre côté, au moment ou l'étalon m'aurai ratrapé. Il resta un instant devant moi, me regardant férocement puis repartie au trot.
Je resta couché le temps de reprendre mon souffle et de "digéré" ce que je venait de vivre. En suite je me releva et reparti, les jambes encore tramblante, et fit le tour du près pour allé à l'écurie.

James avait le coeur qui battai à cent à l'heure, les mains moites et les jambes tramblante. Un sentiment qu'il n'avait connue qu'une seul fois dans sa vie: au moment d'allé au cimetière, voire la tombe de ses parents. Mais, jamais il n'avait connu se sentiment en présence de chevaux! non au contraire. Avec les chevaux il est calme et posé, gentil et respectueux. Il ausait tout, n'avait peur de rien. mais la c'était autrement. Malgré lui, malgré son affort de cacher se sentiment, il devait se faire une réson: il avait peur d' Al Ghazal.
Mais malgré tout il continua d'avançé.. et s'arrèta à la barrière du près. Quelque mètre et une barrière, seulement, le séparait de l'étalon. Celui-ci le vit et dressa les oreilles. Ils se regardèrent. Tout à coup l'étalon se mit en route. Mais drôlement, ce fut en direction de la barrière, de James. Toujours les oreilles dressé il continua de l'observé. Le garçon lui, dans un moment de pur follie, passa doucement en dessous de la barrière, tout en gardant Al Ghazal dans les yeux. L'étalon continua sa route et s'arrèta devant le garçon. Il se tenait dressé devant lui. L'étalon aprocha sa tète. James pinça les yeux et serra les dents, de peur que le cheval vint sur lidée de le mordre. Mais non! rien de cela ne se passa. L'étalon lui toucha doucement le buste avec son museau, et lui renifla les chevaux. James se detendis tout de suite et parvint mème à faire un petit sourir. Doucement il aprocha la longe du crochet et la fixa. Al Ghazal se tenait gentilment à côté de lui. Respirant un grand coup, James poussa la barrière et invita l'étalon à le suivre ce qu'il fit sans rechinier et suivis le garçon jusqu'à l'écurie.